La philosophie chiropratique respecte la capacité du corps à se soigner et à se guérir lui même (cicatrisation après une coupure ou se guérir d’un rhume). Cette capacité d’adaptation, quand elle est altérée, réduit l’aptitude du corps à préserver la santé. Le chiropracteur cherche à rétablir ou simplement préserver, le bon fonctionnement du système neuromusculosquelettique et permet à son patient de conserver son état normal de résistance naturelle.
D’après l’OMS, « La santé est un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité ». On associe très fréquemment la santé à l’absence de maladie ou de symptômes. Au contraire certains symptômes sont l’expression d’une défense ou d’une adaptation du corps à son environnement (Ex : la fièvre pour éviter la prolifération bactérienne). A l’opposé, on peut très bien être en mauvaise santé et ne pas avoir de symptômes comme certaines pathologies qui mettent des années avant d’être décelables (problèmes cardio-vasculaires, cancers). Il est donc très important de prendre soin de son corps sans attendre d’avoir mal.
La chiropraxie respecte cette définition et prend en compte la santé dans sa globalité (nous nous concentrons sur le patient et non sur la pathologie). Tous les problèmes de santé sont composés de différents facteurs et doivent être pris en considération :
- Stress physique : accidents, chutes, mauvaises postures…
- Stress chimique : mauvaise alimentation, traitements médicamenteux lourds, pollution
- Stress émotionnel : travail, conflits familiaux, dépression
Chacun des stress influence sur les deux autres, c’est pour cela qu’il est très important d’essayer de maintenir une bonne hygiène de vie à laquelle participe, pour une bonne part, la chiropraxie.